Projet Justice Canada
Si le harcèlement au travail peut affecter tout le monde, les réalités sont cependant différentes.
Pensons par exemple aux personnes nouvellement arrivées qui ne connaissent pas leurs droits en tant que salariées ou à une personne trans qui subit des commentaires inappropriés sur son identité de genre?
C’est pourquoi il est nécessaire de mieux connaître les différentes réalités pour mieux prévenir des éventuelles violences, notamment sexuelles, et favoriser un environnement de travail sain, sécuritaire et respectueux pour tout le monde.
À propos
Le projet « Harcèlement sexuel : ça fait pas partie d’la job » a été créé grâce au financement du Ministère de la Justice du Canada afin de bonifier l’offre d’activités d’éducation déjà proposée par le GAIHST depuis plusieurs années.
Grâce à ce projet, le GAIHST peut vous accompagner dans la sensibilisation de votre environnement de travail sur la problématique du harcèlement psychologique, sexuel et discriminatoire dans une optique de favoriser la prévention de la violence et l’inclusion envers les groupes suivants :
- Femmes* immigrantes et nouvellement arrivées
- Femmes autochtones
- Femmes en situation de travail précaire
- Communautés LGBTQ2S+
NB: *Par “femme” est entendu toute personne s’identifiant au genre féminin, dans sa pluralité de dimensions.
Services offerts
Pour en savoir plus sur les sessions et formations, consultez l’offre des services ici :
Pour approfondir vos connaissances, consultez notre boite à outils ici :
Pour toute question ou suggestion, contactez directement la responsable du projet et formatrice :
Vous vous identifiez à au moins une de ces communautés et vous voulez nous raconter votre expérience pour faire avancer la cause ?
Les réponses permettent d’alimenter le contenu des formations et de mieux cerner vos réalités.
Si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à contacter nos intervenant(e)s au 514 526-0789.
Cette offre de service est inscrite dans le cadre du projet “Harcèlement sexuel: ça fait pas partie d’la job” financé par le Ministère de la Justice du Canada sur la période 2019-2024.